Regarder autour de soi
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Pour cette septième séance, je vous propose de regarder autour de vous. Souvent, pour faire un créneau par exemple, on tourne vite et fort, mais que se passe-t-il lorsque l’on ralentit un tout petit peu et que l’on glisse des contraintes ? Eh oui, les contraintes sont des leviers pour que notre intelligence trouve de nouvelles solutions, je vous souhaite le plaisir de sentir votre génie à l’œuvre ☺️
4 Comments
J’ai vraiment découvert quelque chose
En un temps si court je ne l’aurais pas imaginé
L’implication du bassin et plus
Genoux appuis des pieds
Ça va nourrir mon travail
Merci
J’ai vécu il y a peu, une expérience proche quoique différente dans le fait de m’adresser à quelqu’un physiquement présent, sans le voir et sans savoir s’il me voyait ni même me regardait. Nous discutions dans une pièce peu éclairée et la fatigue aidant, aucun des 2 n’a eu l’élan d’organiser l’ambiance lumineuse adéquate à l’échange; il y a eu pour moi quelque chose de saisissant et délicieux à la fois à sentir combien l’ensemble de moi s’est mobilisé assez rapidement pour incorporer, incarner mon propos et l’aider à franchir la contrainte de l’adresse-sans-regard-ni retour-en-image. Cela s’est passé ailleurs que dans le fait de hausser le ton et précisément, dans mon assise, le débit de ma parole et dans mes yeux qui se sont détendus. Lorsque le contexte change, sentir que le corps prend sa part, de façon autonome au processus d’adaptation, c’est juste vertigineux.
Avec plaisir 🙂 Je trouve très amusante la simplicité de cette contrainte et hop ! l’organisme trouve une solution limpide 🙂
ça va un peu plus loin que cette modeste leçon 😀